Dans le Nord de la Colombie Britannique, à quelques kilomètres seulement du Yukon, nous sommes en mesure de vous faire chasser la chèvre des rocheuses, le moose (Élan du Canada), le caribou de montagne ainsi que le mouflon de Stone (Ovis dalli stonei). Quasiment toutes nos expéditions sont menées à cheval. Cet auxiliaire apporte un avantage incontestable dans le confort de la chasse et dans sa réussite.
Avis aux amateurs d'authenticité et de chasse au bout du monde!
Deux saisons, deux programmes de chasse différents
Décors de westerns
Espaces vierges et montagneux infinis où se mêlent harmonieusement forêts sans fin, lacs, cours d’eau et vastes plaines parsemées de ranchs au sein desquels paissent d’imposants troupeaux d’Herefords et d’Angus, bienvenue en Colombie-Britannique. Dans cette ambiance de western, l’on s’attend à chaque instant à voir débouler la silhouette d’un John Wayne ou d’un Steeve Mc Queen. Mais, les cow-boys semblent avoir pour partie désertés les lieux au profit d’une incroyable faune sauvage à la tête de laquelle trône en maitre l’ours noir. C’est sur les traces de ce plantigrade mythique que nous vous proposons de vous élancer derrière d’impressionnantes et survoltées meutes de Plottshounds, des chiens courants américains spécialement créancés sur le plantigrade. Pour ce faire, Sable Safari dispose de plusieurs millions d’hectares dont une large partie n’est chassée que tous les 3 ou 4 ans au maximum.
Hébergement rustique
Selon la zone de chasse désignée, deux types d’hébergements sont proposés par nos associés de Colombie-Britannique. Le premier se résume à une cabane en bois rustique offrant 6 couchages en cabines doubles. Le confort y est très sommaire mais le temps passé dans ce réduit est court. Le second site est un camp de toiles spacieux et relativement confortable qui est implanté en pleine nature, au cœur des territoires de chasse. L’ambiance y est fort sympathique. Nos partenaires déterminent au dernier moment lequel des sites ils vont occuper en fonction de l’activité des ours.
À table
Il n’est pas vraiment possible de parler de gastronomie lorsque l’on évoque la cuisine en Colombie-Britannique. Les petits déjeuners sont très copieux tandis les déjeuners sont le plus souvent oubliés au profit de barres chocolatées, de chips et autres cacahuètes salées consommées en voiture en roulant. Il est bien évidemment impossible de couper la chasse pour une pause casse-croûte. Le diner est généralement pris très tôt et vite expédié. Selon les sites de chasse, il peut être pris dans un restaurant, un snack ou au camp. Dans tous les cas, personne ne meurt de faim, rassurez-vous.
Acheminement
La Colombie-Britannique se mérite. Le voyage transatlantique implique au minimum une escale à Vancouver, et parfois une précédente à Montréal ou Toronto, pour rejoindre la ville de Kamloops à l’extrême ouest du Canada. Une nuit d’hôtel est ensuite indispensable avant de rejoindre en quelques heures, par la route, l’une des bases choisie par les guides.
Généralités
Il est très important, avant d’envisager ce type d’aventure que les prétendants au voyage mesurent parfaitement l’étendue de leurs capacités physiques. Certains sont capables de grandes prouesses d’autres sont beaucoup plus limités. Tous sont cependant assurés d’avoir leur chance de récolter un ours, mais il est indispensables pour les guides de connaître les possibilités de chacun afin qu’ils s’adaptent à toutes les situations. Les chasseurs moins « affûtés » seront prioritairement conduits sur les animaux les plus accessibles depuis les véhicules.L’avis du spécialiste
« La beauté des paysages de la Colombie-Britannique n’a d’égal que ces densités d’ours noir. Les grands fauves sont partout, restent à faire pleine confiance aux guides et à leurs meutes pour les débusquer. Ces chasseurs des temps modernes, hommes et chiens, nous ont simplement ébloui par leur talent et leur savoir-faire. Ils nous ont fait vivre des moments d’intenses émotions face à des monstres de puissance survoltés. Les amateurs de sensations fortes sont sûrs de trouver leur compte avec ce produit… pas vraiment comme les autres ».
Philippe Aillery – Journaliste Reporter – Spécialiste de la chasse à travers le monde