CHASSE AU MOZAMBIQUE"L'important n'est pas le tableau mais la manière de le peindre"

Dans la province de Niassa, à l’extrême nord du Mozambique, un territoire de 400 000 ha vous tend les bras. Biotopes enchanteurs, faune sauvage omniprésente et variée, guide de chasse et concessionnaire rigoureux, intendance et logistique irréprochables, tels sont nos atouts pour vous faire vivre un safari de rêve à la recherche de trophées remarquables. Il s’agit-là d’une référence Sable Safari/JKO sur laquelle nous misons beaucoup.

La zone que nous avons référencée présente une alternance de grandes plaines dégagées, de savane arbustive, de forêts denses à claires, de longs et étroits bakos. L’ensemble est copieusement irrigué par un vaste réseau de petits cours d’eau et dominé par plusieurs montagnes érodées qui culminent jusqu’à 800 m. Ce territoire, percé de plus de 700 km de pistes, est simplement somptueux. Le plus rude des baroudeurs d’Afrique ne pourra rester insensible à l’insolente féérie du lieu.

Notre partenaire gestionnaire, guide d’expérience de talent, mène en permanence depuis plus 20 ans une lutte sans merci aux braconniers et au pastoralisme. Grâce à cette pression, la faune sauvage se multiplie à loisir et a le temps de vieillir. C’est la clé de la réussite pour obtenir de grands trophées.

L’écrin cynégétique que nous vous proposons de fouler permet des safaris particulièrement complets puisque pas moins d’une vingtaine d’espèces y sont chassables. La chasse n’est pas particulièrement physique sauf dans ses rares parties montagneuses. Le « patron », européen parfaitement francophone vivant à l’année au Mozambique, s’adapte, de toute manière, à la condition de chacun de ses visiteurs. Dans un cas de figure normal, la billebaude à pied est privilégiée mais tout se déroule tranquillement, sans stress. Le guide connait toujours à l’avance parfaitement vos priorités de récoltes mais en personnage très honnête il ne s’engage jamais dans quelconques promesses de réussite. Il vous garantit en revanche qu’en sa compagnie vous allez chasser et, croyez-nous, ce ne sont pas des paroles en l’air. Ainsi, chaque bonne opportunité d’approche est exploitée et nous pouvons affirmer que les occasions ne manquent pas.

Les pisteurs, salariés permanents pour la plupart depuis la naissance de l’organisation, connaissent leur métier sur le bout des doigts tandis qu’ils évoluent dans la zone un peu comme dans leur jardin. Aucune trace et aucun animal n’échappent à leurs regards de félins et marcher dans leurs pas est un véritable régal. Leur seule motivation est de vous mettre en contact avec le gibier. La suite est du ressort de notre guide/partenaire. Il saura, avec ruse et dextérité, vous amener à portée de tir idéale et vous indiquer le meilleur trophée. Faites-lui pleinement confiance.

Sur la liste exhaustive des espèces chassables sur notre zone se trouvent l’éland de Livingstone, le buffle, l’antilope sable de Roosevelt, le zèbre de Crawshay, le bubale du Lichtenstein, le gnou de Niassa, le grand koudou, le cobe à croissant, le guib de Chobe, le crocodile, le cobe des roseaux, le léopard, le lion, la hyène tachetée, le phacochère, le potamochère, le céphalophe de Grimm, le grysbok de Sharpe ou encore le babouin. Croiser l’un ou l’autre de ces représentants n’est ici pas affaire de chance mais de connaissance des mœurs de ces animaux et de leur territoire. En ce domaine, comme dans tous les autres, vous pouvez en remettre entièrement à notre prestataire.

Jouir d’un confort à l’européenne au beau milieu de la brousse mozambicaine tient de l’exploit. Notre partenaire l’a réalisé en respectant, de surcroît, scrupuleusement l’environnement initial. Ses différents camps se composent de tentes à la tanzanienne spacieuses et équipées individuellement de sanitaires complets. La cuisine, excellente et variée, est à base de gibier, de légumes, de fruits et de plats traditionnels européens. Notez par ailleurs qu’un service quotidien de blanchisserie est assuré.

Il n’est pas dans nos habitudes de vous cacher les choses. Sachez par conséquent que venir chasser sur notre territoire implique un voyage à étapes en raison de correspondances aériennes discordantes. Ainsi, une escale d’une nuit à Maputo est inévitable à l’aller comme au retour. Ceci signifie donc que chaque trajet se déroule sur deux jours. Le privilège de chasser au paradis nécessite de supporter cette petite contrainte. De l’aéroport de Lichinga il faut compter 3h30 de très bonne route puis de piste pour atteindre le camp.

La saison de chasse s’étend du début juin à la fin novembre. Si les nuits restent fraiches tout au long de cette période, les températures en journée sont très agréables jusqu’au terme du mois de septembre. La chaleur devient ensuite pesante entre 10h00 et 17h00.

Selon les animaux désirés, la durée des safaris varie de 10 à 21 jours. A de très rares exceptions près, les chasseurs mènent généralement à bien leur contrat avant la date de fin initialement prévue. Plus de vingt années de présence permanente sur le territoire d’une brigade de lutte anti-braconnage ont permis d’assurer une vraie tranquillité à la faune sauvage. Cette dernière a donc tout loisir de prospérer. Il est facile de s’en rendre compte en observant au fil des sorties l’étendue de la pyramide des âges de toutes les espèces fréquentant la brousse. Ce signe ne trompe pas.

La compagnie est équipée d’un parc automobile en parfait état et bien adapté à toutes les situations. Un confortable 4X4 climatisé assure les liaisons aéroport entre Lichinga et le camp. Sur le terrain, 3 puissants pick-up équipés « chasse » avalent les centaines de kilomètres de piste sans problème. Un camion d’assistance complète ce matériel roulant.

Sachez enfin que si vous souhaitez voyager léger nous disposons sur place de plusieurs carabines de différents calibres équipées d’excellentes lunettes.

« Le temps semble s’être arrêté depuis des lustres sur la zone mozambicaine référencée par l’agence Sable Safari/JKO. Tous ceux qui rêvent de vivre un safari à l’ancienne, comme ceux qu’ont pu connaitre Ernest Hemingway et autre Édouard Foà à la grande époque en Afrique de l’Est sont sûrs de retrouver les ambiances d’antan… alliées aux commodités d’aujourd’hui. Nous avons été immédiatement été conquis par les charmes et la richesse de ce produit. Un cadre idyllique, une organisation ultra-performante sous ses faux-airs de nonchalance et des animaux omniprésents, difficile de trouver mieux. »

Philippe Aillery – Journaliste Reporter – Spécialiste de la chasse à travers le monde